Le pape a montré par où passe ce chemin d’espérance : « Jésus est la bénédiction pour ceux qui sont opprimés par le joug des esclavages, des esclavages moraux et des esclavages matériels. Il nous libère par son amour. A ceux qui ont perdu leur estime de soi en restant prisonnier de cercles vicieux, Jésus dit : le Père t’aime, ne t’abandonne pas, attend ton retour avec une patience inébranlable. »
« À ceux qui sont victimes d’injustice et d’exploitation et qui ne voient pas d’issue, Jésus ouvre la porte de la fraternité, où trouver des visages, des cœurs et des mains accueillants, où partager l’amertume et le désespoir, et retrouver un peu de dignité. Jésus s’approche de celui qui est gravement malade et se sent abandonné et découragé, touche les plaies avec tendresse, verse l’huile de la consolation et transforme la faiblesse en force de bien pour défaire les nœuds les plus emmêlés. A ceux qui sont en prison et tentés de s’enfermer sur eux-mêmes, Jésus rouvre un horizon d’espérance, à partir d’un petit rayon de lumière. »
« Chers frères et sœurs, descendons des piédestaux de notre orgueil et demandons la bénédiction de la Sainte Mère de Dieu, l’humble Mère de Dieu. Elle nous montre Jésus: laissons-nous bénir, nous ouvrons notre cœur à son bonté. Ainsi l’année qui commence sera un chemin d’espérance et de paix, non pas en paroles, mais par des gestes quotidiens de dialogue, de réconciliation et de souci de la création ».