« Dieu peut nous conduire sur des sentiers difficiles et douloureux, mais – c’est une certitude – il ne nous abandonnera jamais ».
Pendant le temps du carême, il a encouragé : « contemplons Jésus à Gethsémani, écrasé par le mal, mais qui s’abandonne avec confiance à la volonté du Père ».
« La volonté de Dieu, incarnée en Jésus, est de chercher et de sauver ce qui est perdu », avait-il expliqué auparavant dans sa méditation : dire « que ta volonté soit faite », ce n’est pas « courber servilement la tête, comme des esclaves. Dieu nous veut libres … comme des enfants qui connaissent le cœur de leur Père et sont certains de son dessein d’amour ».
« Si nous prions, avait-il ajouté, c’est parce que nous croyons fermement que Dieu veut et peut changer la réalité en faisant vaincre le mal par le bien. A ce Dieu, il est possible d’obéir et de s’abandonner, même à l’heure de l’épreuve la plus dure. »