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Angélus du Pape François, 24 février 2019

19 février 2022

Il n’y a rien de plus grand et de plus fécond que l’amour: celui-ci confère à la personne toute sa dignité, alors que la haine et la vengeance, au contraire, la diminuent, défigurant la beauté de la créature faite à l’image de Dieu.

Ce commandement, de répondre à l’insulte et au tort par l’amour, a engendré dans le monde une nouvelle culture: la «culture de la miséricorde» — nous devons bien l’apprendre! Et bien la pratiquer cette culture de la miséricorde — qui donne naissance à une véritable révolution» (Lett. ap. Misericordia et misera, n. 20). C’est la révolution de l’amour, dont les protagonistes sont les martyrs de tous les temps. Et Jésus nous assure que notre comportement, empreint d’amour envers tous ceux qui nous font du mal, ne sera pas vain. Il dit: «Remettez, et il vous sera remis. Donnez, et l’on vous donnera […], car de la mesure dont vous mesurez on mesurera pour vous en retour» (vv. 37-38). Cela est beau. Ce sera une belle chose que Dieu nous donnera si nous sommes généreux, miséricordieux. Nous devons pardonner parce que Dieu nous a pardonnés et nous pardonne toujours. Si nous ne pardonnons pas totalement, nous ne pouvons pas prétendre être pardonnés totalement. Au contraire, si nos cœurs s’ouvrent à la miséricorde, si le pardon se scelle par une étreinte fraternelle et si les liens de la communion se resserrent, nous proclamons au monde qu’il est possible de vaincre le mal par le bien. Parfois, il est plus facile pour nous de nous souvenir des torts et des maux que l’on nous a faits, et non des bonnes choses; au point qu’il y a des gens qui ont cette habitude et cela devient une maladie: ils sont «collectionneurs des injustices»: ils se souviennent uniquement des mauvaises choses qu’on leur a faites. Et cela n’est pas un chemin. Nous devons faire le contraire, dit Jésus. Se souvenir des bonnes choses, et quand quelqu’un vient en médisant, en parlant mal de l’autre, dire: «Oui, peut-être… mais il a ceci de bon…». Renverser le discours. Voilà la révolution de la miséricorde.

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